Les événements spirituels les plus importants dans la vie des êtres humains sont les rites de passage. À l’exemple de ce que nous retrouvons dans la nature, les rites de passage marquent le rythme des saisons de la vie de l’être humain. Chacun d’eux signale le début d’une nouvelle étape dans la vie et l’évolution de ceux et celles qui en bénéficient. Ce sont de puissants catalyseurs de notre épanouissement harmonieux qui donnent un sens à la vie. Ils donnent les clefs pour apprendre comment donner le meilleur de nous-mêmes à nos familles, à nos amis et à nos communautés. Dans les civilisations actuelles où les rites de passage ont depuis longtemps été récupérés par les religions ces rites n’ont plus aucun pouvoir et plus tellement de sens. Ce ne sont souvent que des dogmes destinés à cacher l’essence de ces moments puissants de découverte de soi que sont les rites de passage.
Ces cérémonies que sont les rites de passage sont des outils pour faciliter le passage d’une saison à l’autre de la vie humaine. Elles rythment d’une manière significative notre évolution et facilitent le passage. Elles aident l’être à s’adapter aux changements en amenant toute la communauté à participer et faciliter l’évolution d’une personne qui vit un événement majeur. C’est intégrer la sagesse des générations successives de Femmes et d’Hommes sages et éclairés qui ont mis en place des manières de nous aider à bien grandir au travers des inévitables changements que comporte toute vie humaine : la naissance, les premiers pas, la puberté, la vie de couple et de famille, le deuil, la maladie, la vieillesse et la mort. Lorsque ces moments forts dans la vie d’une personne sont facilités avec la sagesse des anciens par la transmission des rites de passage, notre évolution en est grandement bonifiée. Lorsque ces rites sont absents, les conséquences sont désastreuses. La confusion et la souffrance qui en résulte sont autant plus perturbantes et illogiques qu’elles ne sont pas nécessaires. Je vais vous entretenir aujourd’hui des rites de passage de la puberté chez les Premières Nations de l’Amérique du Nord.
À la puberté, les jeunes gens préparent leur entrée dans le monde adulte. Chez les Premières Nations, la phase que les Occidentaux nomment la crise d’adolescence est un phénomène inconnu. Dans la tradition autochtone, les enfants passent directement de l’enfance à la vie adulte, en quelques jours, à l’aide du rite de passage. Ce phénomène des sociétés civilisées déformées par les religions, la crise d’adolescence, avec son lot de drames et de révoltes, d’expériences extrêmes et souvent violentes vécues par les adolescents et les déboires émotionnels et physiques vécus par les adolescentes est dû à ce manque de préparation à la vie adulte. En fait, la société moderne brille par son manque total de traditions pour permettre aux plus âgés d’accompagner les plus jeunes dans leurs apprentissages de la vie. Ceci est désastreux et une des nombreuses raisons pour lesquelles le suicide chez les jeunes dans les sociétés des Nations dites développées est beaucoup plus élevée que dans les sociétés traditionnelles. En fait, dans les communautés autochtones traditionnelles qui vivent encore en harmonie avec la nature, le suicide chez les jeunes est inexistant.
Ces rites existent dans toutes les communautés aborigènes et les sociétés traditionnelles à travers le monde. Les rites sont différents dans chaque nation, mais ils ont tous en commun de créer des circonstances spéciales pour accompagnés de manière indélébile dans la conscience des jeunes adultes leurs compréhensions de ce que c’est que d’être un homme, que d’être une femme. Ainsi, à l’âge où les jeunes ont la capacité d’enfanter, les responsabilités inhérentes et très différentes à leurs sexes leur sont transmises par les sages et adultes bienveillants de leurs communautés.
Ici, dans l’Amérique du Nord aborigène, les jeunes hommes de treize et quatorze ans sont amenés sur la montagne ou un lieu élevé pour réaliser leur quête de vision. Là-haut, ils jeûnent pendant plusieurs jours et plusieurs nuits. Ils se privent de nourriture, d’eau et de sommeil pour s’harmoniser avec le monde spirituel où ces besoins n’existent pas. Ils sont confrontés à leurs peurs. Être seul sur la montagne avec une simple couverture en guise de protection contre les animaux, les éléments et les esprits, rends parfois les craintes très présentes. Ils sont complètement seuls, parfois pour la première fois de leur vie, ainsi tous les aspects de leur personnalité qui ont besoin de transformation se manifestent. Leurs démons intérieurs sortent pour les dévisager et les jeunes doivent regarder avec courage ces aspects d’eux-mêmes. Sans relâche, pendant toute la durée de leur vigile, ils implorent leur vision, soit la révélation de leur médecine, le sens de leur vie, de leur raison d’être sur terre et leur place dans la communauté.
À leur retour, ces jeunes hommes ne sont plus des enfants. Ils ont appris à maitriser leur corps et leurs besoins essentiels : la faim, la soif et le sommeil. Ils ont affronté leurs peurs et en sont revenus vainqueurs. Ils se connaissent maintenant beaucoup mieux et comprennent leur rôle au sein de la communauté et leurs talents plus particuliers (leurs médecines et totems). Ils sont maintenant des adultes. En effet, vivre une telle expérience avec ses apprentissages transmet à la personne une grande maturité. Ils sont accompagnés dans ce processus. Même s’ils sont seuls sur la montagne ils savent que les hommes qui les avaient accompagnés pendant leurs préparations prient et méditent pour eux afin qu’ils soient protégés et inspirés pendant leurs quêtes.
Il y a aussi une grande sagesse à passer plusieurs jours seul à contempler la nature. En effet, tout dans la nature est vrai. Il n’existe aucun mensonge au sein du monde naturel. Seul le monde artificiel des hommes est bourré de mensonges et de conditionnements qui cherchent à programmer les êtres avec de fausses données. Mais dans la nature tout est vrai. Ainsi, après plusieurs jours à voir la nature autour de nous, nos conditionnements et illusions tombent comme les feuilles à l’automne, nous commençons à vibrer en résonance harmonique avec la vérité. Notre mission de vie et notre place au sein de l’univers nous apparaissent alors avec plus de clarté. Au retour de la quête les sages et les hommes accompagnateurs, dont très souvent le père, recueillent les expériences, compréhensions, visions et révélations vécues par le jeune adulte et ainsi l’aident à intégrer le monde comme une nouvelle personne. Fort de cette nouvelle vision du monde, fort d’avoir maitrisé son corps et son esprit, fort d’être maintenant acceptée comme un adulte et de pouvoir intégrer le monde des hommes, le garçon reçoit un nouveau nom qui fait une coupure définitive avec sa personnalité d’enfant pour lui permettre de devenir un homme dans le beau sens du mot. C’est la genèse d’une véritable maturité.
Cette expérience continue dans le partage des sagesses et des enseignements qui se transmet dans les cercles d’Hommes. Les Nouveaux Hommes ont à partir de ce moment des responsabilités précises vis-à-vis de la communauté. Ceci peut différer selon la nature de la géographie de chaque communauté, mais en général on parle ici de protection de la communauté, la construction des abris, la récolte des aliments et outils nécessaires pour la famille, les cérémonies spécifiques aux hommes, etc. Les techniques, les attitudes et aptitudes nécessaires à l’accomplissement de ces responsabilités sont transmises et développées au sein des cercles d’Hommes. Ces cercles et les organisations d’Hommes étaient très variés d’une nation à l’autre, mais existaient dans toutes les nations. Les Hommes ont besoin de parler entre eux pour mieux comprendre qui ils sont et comment gérer les défis spécifiques qui sont le lot de tous les Hommes. Le rite de passage de la puberté soulignait ce moment très attendu où le jeune Homme pouvait enfin intégrer un tel cercle.
Pour la jeune fille, ce passage à la vie adulte était marqué par l’arrivée des premières lunes. Dans la culture autochtone, les menstruations sont appelées la lune de la femme parce que ce cycle biologique suit le cycle mensuel de la lune. Cette nouvelle étape était une source de grande joie pour tous, car c’est un gage d’avenir pour la communauté. Cette jeune femme portait désormais en elle la promesse des enfants. À cette occasion, une grande fête était organisée pour souligner l’événement.
Chez les Apaches, la cérémonie de Femme Changeante, figure mythologique très importante de leur culture, dure trois jours. La lune de la jeune femme est honorée et célébrée dans la joie et l’allégresse. Celle-ci est considérée comme une déesse, comme Femme Changeante elle-même, pendant les moments forts de cette cérémonie. Pour commencer, les grand-mères préparent la jeune femme pendant deux jours en lui parlant de son nouveau rôle dans la communauté, des mystères féminins, des choses à éviter et à rechercher dans ses futures relations avec les hommes et de toutes les choses qu’elle doit apprendre en tant que femme. Ensuite, ses aînées la massent, l’enduisent d’huiles odorantes et la revêtent de très beaux habits préparés spécifiquement pour cette occasion. Elle était alors présentée à la communauté comme la personnification vivante de la Divinité, l’incarnation de Femme Changeante. Les gens viennent de très loin pour avoir la possibilité de lui parler, de la toucher, d’être bénis par sa présence. La jeune femme demeure pendant plus de douze heures les bras tendus vers le ciel, dans la posture traditionnelle de la Déesse Mère, à recevoir patiemment ce déferlement d’attention bienveillante. Les Apaches utilisaient le peyotl, une plante sacrée, pour que cela soit vécu sans fatigue et sans douleur. Les gens venaient de très loin pour poser des questions à la jeune femme, car sa voix en ces moments bénis est celle de la Déesse. La jeune femme répond la première chose qui lui vient à l’esprit et les réponses offertes sont considérées comme des messages de la déité.
Je prends l’exemple de la culture Apache parce qu’elle m’a été racontée par une aînée qui l’a vécue, OhShinnah Fastwolf, et je la trouve très belle. Mais des cérémonies similaires avaient lieu dans toutes les nations autochtones et pas seulement en Amérique, mais sur tous les continents. La vérité est la même pour tous au sein du monde naturel. Ainsi, au sein de chaque culture autochtone, la jeune femme qui vivait sa première lune découvrait cela comme quelque chose de sacré, de grand, de ressourçant, qui participait à la nature même de la divinité au sein du monde. C’était là une expérience extrêmement riche, profonde, puissante, qui donne du pouvoir à la femme et lui permet d’acquérir le sens d’une fierté, d’une responsabilité, d’une importance qui fait qu’elle a énormément de respect pour elle-même. Et de fait, à chaque fois que ce cycle revient ces mêmes émotions sont réactivées. C’était donc vécu comme quelque chose de grand, qui inspire et produit une ouverture et une communion avec les émotions et les pensées les plus hautes, grandes et fécondes que peut vivre une femme.
Les femmes qui vivent un tel événement ont une très haute opinion de leur féminité. Elles comprennent l’importance du rôle qu’elles ont à jouer en tant que femmes au sein de la communauté. Elles ont également la compréhension des mystères de la femme, ce qui les amène à respecter encore davantage la nature sacrée de leur lune. Elles ne permettront jamais qu’on leur manque de respect et elles sauront dire non aux hommes qui n’ont pas une intention juste et pure à leur endroit.
Or, les femmes dans le monde occidental n’ont pas vécu cette expérience à l’apparition des premières lunes. Au contraire, la première lune est vécue comme un désagrément. Les jeunes filles ne sont pas préparées par les femmes qui l’ont elles-mêmes vécue comme un désagrément. Il s’emploie souvent dans le monde occidental des termes qui désignent la femme dans sa lune comme « indisposée », « dans le rouge », « malade », autant d’expressions qui dénigrent cette phase extrêmement importante et extrêmement riche dans la vie de la femme. Ceci prédispose aux dérèglements du cycle, aux états de fatigue, de douleur, au syndrome prémenstruel douloureux, aux hémorragies abondantes, etc. que connaissent bien des femmes au moment de leurs lunes dans le monde moderne.
Cependant en vivant le rituel que les femmes dans les communautés indigènes vivent à la puberté pour reconnaître et honorer leur nature de femmes il est parfois possible de corriger cela, comme l’expérience des dernières années nous l’a démontré. Aujourd’hui, nous accompagnons des femmes, ayant de 14 à 65 ans, dans ce rite pour honorer leur nature sacrée et faire ce qui aurait dû être fait au moment opportun. Il n’est jamais trop tard pour faire ce qui est juste et bon. Nous appelons cela le Rite de la Nature Sacrée de la Femme. Bien des femmes aimeraient aussi faire des quêtes de vision pour avoir accès au caractère sacré de leur psyché qui est lié à leur essence et recevoir des compréhensions concernant leur identité, leur totem, leur mission sur Terre. J’ai donc créé un espace qui permet cela en respectant la nature de la femme et c’est ce que j’appelle la loge de lune. C’est pour cela que j’ai réactivé une forme de quête de vision qui est adaptée à la nature sacrée de la femme, en permettant à celle-ci d’être dans un espace sacré pendant plusieurs jours, sans les rigueurs et la nature extrêmes des quêtes de visions qui sont propres à l’homme. L’homme a besoin de comprendre et d’apprendre la maîtrise de soi de manière définitive en quelques jours seulement. Il n’a pas un cycle qui revient chaque mois qui lui permettrait de réactiver sa compréhension de ce que c’est que d’être un homme. C’est pourquoi la nature extrême de la quête est nécessaire à son développement. Pour une femme en revanche, ce caractère extrême n’est pas nécessaire. La femme au contraire peut dormir, rêver, se détendre… C’est en fait cette habilité de se détendre et de s’ouvrir, de se relaxer, qui lui permet de s’épanouir.
Dans la plupart des nations autochtones en Amérique, après cette initiation, les jeunes femmes peuvent intégrer la loge de la lune, c’est-à-dire aller dans un lieu spécial, ouvert uniquement aux femmes, pendant ces quelques jours qui sont vécus comme des moments sacrés de communion avec leur essence féminine. Ces moments bénis deviennent propices au recueillement, à la réalisation d’une autre sorte de quête. Elles se regroupent souvent ensemble dans une place à l’écart du village, dans cette habitation appelée la loge de la lune, dans un espace où elles peuvent communiquer entre elles, se ressourcer, communier avec les forces divines de la lune qui régulent ce cycle. Ce lieu est interdit aux hommes. Là, elles s’accordent un temps de repos, de méditation et de partage. De cette façon, elles apprennent à vibrer en harmonie avec leur cycle et n’ont pas tous les problèmes que connaissent les femmes aujourd’hui. Douleurs, SPM, hémorragies abondantes, etc., tout cela n’existait pas autrefois parce qu’il y avait un espace dans lequel les femmes pouvaient s’épanouir et trouver du repos, de l’inspiration et une connexion avec la Terre Mère. Mais, même sans vivre ces rites, si la femme prend du temps à chaque cycle, si elle infuse cette période de son cycle avec un sentiment sacré, de beauté, si elle sait ainsi se respecter et se reposer, il y a de grandes chances qu’elle vive cela tout à fait différemment.
Il y a dans les traditions des femmes à travers le monde un partage sacré qui donne une connexion très puissante avec les divinités féminines de l’univers et la terre nourricière elles profitent de cette période sacrée pour offrir leur sang à la terre-mère. Ce n’est pas un hasard si dans toutes les cultures traditionnelles de la terre les femmes portent des jupes et des robes. Elles peuvent ainsi donner directement à la terre le sang qui s’écoule et elles sont ainsi en lien constant avec la Terre Mère et Déesse Mère dans ses innombrables incarnations.
Les rêves, les songes et les visions qu’elles ont durant leur lune sont écoutés et respectés par toute la communauté. C’est une réalité comprise par les sociétés traditionnelles qu’elles sont dans la loge de lune en connexion avec les forces vives de la nature. Elles ne peuvent donc pas vivre un tel moment comme un désagrément. Ce qui est donné à la terre est reçu comme un temps de vision, de méditation, de ressourcement et de repos. C’était un état de réciprocité qui est bénéfique pour toute la communauté.
Aujourd’hui, beaucoup de femmes n’ont pas reçu cette cérémonie qui leur permet d’honorer leur nature sacrée de femme, et ainsi cette tendance dans les sociétés technocratiques de rabaisser la femme. Plutôt que d’honorer sa féminité, la femme veut résister à cette tendance en voulant être l’égale de l’homme, porter des pantalons et faire des travaux d’hommes. Plutôt que de partager le flot menstruel, le sang sacré, avec la terre nourricière, celui-ci est jeté aux poubelles dans un conditionnement qui augmente la pollution de la nature.
Ainsi, il est très important aujourd’hui de retourner aux sources, de retourner à cette compréhension du sacré.
Une fois ces rites de passage vécus, le jeune homme et la jeune fille ont une idée beaucoup plus claire de leurs rôles et de leur place au sein de la communauté. Il n’y avait donc pas matière à ces crises d’identité que connaissent les jeunes Occidentaux, la crise d’adolescence avec son lot de violences et de drames. La crise d’adolescence existe parce qu’inconsciemment les jeunes recherchent l’initiation. Les garçons, dans un recoin lointain de leurs psychés savent qu’il leur faut une expérience extrême pour comprendre leur condition masculine… ainsi tous les frasques, les accidents de voiture, les accidents de sport, les expériences ultimes propres aux adolescents. Les jeunes filles veulent comprendre leur féminité, mais l’accompagnement des vieilles femmes sages est quasi inexistant. Ainsi, elles le cherchent parfois dans la sexualité, souvent avec des jeunes qui n’ont aucun contrôle et aucune expérience ce qui peut être douloureux physiquement et perturbant émotionnellement.
Pour les jeunes adultes ayant vécu le rite de puberté leurs identités en tant qu’individus au sein de leur communauté, et l’identité de cette communauté au sein du monde, est clair. Leur voie s’étend devant eux pleine de promesses. Ils s’y engagent en toute confiance, se sachant encadrés et pleinement appréciés. Il est possible de recréer ce climat psychique de renouvellement et d’activation des forces vives en soi en prenant le temps de se préparer et de vivre pleinement la quête de vision et la loge de lune.
Nous avons réactivé ces anciens rites et depuis des années bien des Hommes et Femmes de tout âge sont venus en faire l’expérience. Cela demeure pour eux le moment spirituel le plus puissant qu’il et elles ont connu au cours de leurs vies. Nombreux sont ceux qui ont reçu un nouveau nom et cela est pour eux une richesse qui les définit dans leurs appartenances à la communauté humaine, celui d’une humanité en harmonie avec la nature qui donne la vie, une vie qui a un sens au sein du monde.
Pour plus d’information sur ceux qui continuent ces pratiques dans la mouvance de mes enseignements chamaniques, allez sur savoirancestral.com.
Chapitre 15, oui, c’est clair que changer son regard face à notre expérience influence ces dernière.
Et chapitre 16, des culotte ou la jupe, c’Est plus une question de goût, parce que ce n’est qu’en même que du tissus. (L’éternel débat de la culotte, mdr) Mais c’est vrai que certaines femmes se sont coupé de leur féminité, mais le monde des affaire à été construit pour des homme en compétition (c’est hormonal peut-être), alors longtemps, pour les entrepreneurs, avoir une femme dans les rangs, ça voulait dire des risque de grossesses, … pas payant!!! Mais le monde est devenue asexué avec l’internet. Tout le monde ou presque peut passer des heures, et des heures, et des heures, et des heures… et des heures, assie devant un écran sur-brillant bleu qui sautille… Par obligation. Vous aimez ça la être obliger de vivre la modernité? Sans pouvoir toucher nos semblable par peur de la plus petite « bebitte ». C’est le monde qui est malade. Pis pas besoin d’une robe pour comprendre ça, merci. À chaque tâche le vêtement associé. J’irais pas faire du bois avec mon chum en jupe, pas pratique, risque de blessure. Logic please.
Que se cache derrière un individu qui n’accepte pas son sexe? Reflet d’inégalité, irrespect des goûts et sensibilités différentes? Ou juste par esprit contestataire? Et ailleurs, si vous n’avez pas de voile, on veut vous tirer des roches? C’est quoi ça encor cette visio0n rétrograde?
Les rôles sont TELLEMENT LIMITATIFS!!!
Comment y participer ? Cela semble bien loin :).